Pela resolução régia de 19 de Outubro de 1759 foi criado um Professor de Esgrima e outro da Arte de Cavalaria, pagos pelo cofre do colégio, sendo fornecidos os cavalos pelas reais cavalariças.
http://www.arqnet.pt/dicionario/rcolnob.html
1761-ESGRIMA FRANCESA Real Colegio dos Nobres http://eu-bras.blogspot.com/2010/03/1761-esgrima-francesa-en-el-colegio-de.html
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Escrime.
ResponderEliminarTout ce qui a rapport à cet art est tout-à-fait moderne. A l'exception d'un seul Portugais, il n'y a que des Français et des Italiens qui le professent; et les élèves suivent la direction de 1 école à laquelle appartient leur maître. obtient généralement la préférence, quoiqu'il se trouve quelques spadassins qui affectent de suivre l'école L'escrime françaisenapolitaine. Le maréchal Augereau fut un des plus célèbres maîtres d'armes en Portugal. Il y a actuellement à Lisbonne trois maîtres étrangers, deux Français et un Italien, savoir : M. Guery qui est employé au collège des Nobles
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Le Collège Royal Des Nobles (real collegio dos Nobres), créé en 1761 par le roi Joseph. Il a dix maîtres (professores) et quelques suppléans. On y enseigne la philosophie rationnelle et morale, la rhétorique et la poésie, les langues grecque, latine, anglaise et française ; le dessin, l'architecture, la danse, 1 escrime et l'équitation. Il y a en outre un maître de premières lettres,.(PG. 67)
FUENTE:
Essai statistique sur le royaume de Portugal et d'Algarve: comparé aux autres états de l'Europe, et suivi d'un coup d'oeil sur l'état actuel des sciences, des lettres et des beaux-arts parmi les Portugais des deux hémisphères .Adriano Balbi.Rey et Gravier, 1822 - 480 páginas
Portugal, Colégio de São Pedro de Alcântara, porque neles, para além das práticas já mencionadas, se advogava que com“exercícios fortes, applicados con prudência, se tor-não os rapazes ágeis, robustos, e membrudos”(6,Ms. 4209). Mais, o seu autor afirmava peremptoria-mente: “Eu pois adôtarei estes exercícios: jogosbalísticos, a esgrima, a carreira, a luta
ResponderEliminarPortugal, Colégio de São Pedro de Alcântara, porque neles, para além das práticas já mencionadas, se advogava que com“exercícios fortes, applicados con prudência, se tor-não os rapazes ágeis, robustos, e membrudos”(6,Ms. 4209). Mais, o seu autor afirmava peremptoria-mente: “Eu pois adôtarei estes exercícios: jogosbalísticos, a esgrima, a carreira, a luta
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